Saida Neghza répond à ceux qui cherchent à tromper l’opinion publique et affirme sa position constante envers tous les investisseurs marginalisés sans exception

certaines langues obscènes, dont les propriétaires ne voyant qu’avec des yeux pleins de haine, insistent que la distorsion soit leur métier dont ils se nourrissent, et la désinformation soit leur travail dont ils vivent, et la destruction de l’Algérie soit leur fonction pour laquelle ils ont été créés ,tout le temps ils nous apparaît de ses caverne pourries, répondants leurs poisons et leurs rancunes, tout en cherchant à désespérer les gens et à les avertir de tout Patriote, et amant de son pays qui travaille dur de le servir.

Tout le monde regarde, entend et voit de ses propres yeux, chaque jour et 24 heures sur 24, le mouvement infatigable,  jusqu’aux  confins du pays, qui accompagne l’activité de Saida Neghza, présidente de la Confédération générale des entreprises algériennes, quand elle parcourt l’Algérie, d’est à l’ouest, et du nord vers le grand sud, et ce qu’elle fait et dit lors de ses sorties sur le terrain au niveau des sociétés privées, des usines, des entreprises et des investissements, et en cela elle fait avancer la roue du développement pour un avenir meilleur pour ce pays, et cherche à accélérer l’économie nationale, pour ceux qui ne peuvent pas trouver du travail afin de subvenir aux besoins de leur famille.

Mais les yeux mécontents refusent de voir la lumière que comme une obscurité complète, pour que les langues inquiétantes et les stylos pessimistes le font Imaginer à l’opinion public comme s’il s’agit d’une longue nuit qui ne passe pas loin de notre Algérie, et avec chaque phrase destructrice, ils ne le font pas attention à ce que le pays soit laissé pour le retard et en dessous du seuil de pauvreté, tout ce qui les satisfait, c’est que les chômeurs restent sans travail.

L’affaire a dépassé toutes les limites et est devenue insupportable, jusqu’à ce qu’elle oblige cette femme « El Fahla », qui vaut mille hommes, à briser son silence, défendant tous les investisseurs sans exception, quels que soient leur position et leur statut, à l’opposé de ce que ces langues hurlantes prétendent, en disant qu’elle est exclusivement debout Du côté de l’homme d’affaires, Issad Rebrab, et elle s’est transformée en «porte-parole parlant pour lui».

A ce point la bassesse atteint un tel niveau de la part de ces gens qui ne voient rien, mais qui cherche à plaire leurs cœurs aveugles, qui attaquent ceux qui ne se lassent de servir l’Algérie, la terre des martyrs. Saida Neghza pourrait être une femme d’affaires sans rien faire ou donner pour les autres, s’occuper des affaires de sa propre famille après la fin de ses préoccupations privées, tout en passant l’excès de temps dans des voyages et des loisirs, dans une vie pleine de jouissance loin de ces personnes malveillant, mais il semble qu’elle a préféré pour les ennuyer et les inquiéter de sa jalousie sur l’Algérie avec ses prises de position en faveur des investisseurs et des hommes d’affaires marginalisés et opprimés, et sa défense des travailleurs qui se sont obligés la fermeture des usines dans lesquelles ils travaillent, en raison de décisions arbitraires administratives , de chômer pendant tout le reste de leur vie.

Son explosion les a perturbés, sans crainte ni lâcheté, sur des fronts chauds qui l’a ouvert elle-même, face à des responsables défaillants se dressant comme une pierre d’achoppement devant le développement, et une « Issaba » cachée qui s’est emparé des deniers publiques, et ont forcé le peuple à vivre en désespoir et en besoin, et elle revient chaque fois que l’Algérie tente de se tenir debout, afin de semer le chaos et la confusion et freiner le travail des institutions étatiques, Pour qu’elle se venge du peuple qui le 22 février 2019, pour le vaincre.

Saida Neghza a choisi l’Algérie et a préféré passer son temps à la bâtir et à la servir, lors de ses visites sur le terrain dans les zones de l’ombre, où, par ses grands efforts, elle a apporté son soutien à un certain nombre d’investisseurs touchés par l’arbitraire de l’administration, elle ne cherche pas derrière cela une récompense ou une gratitude, ou un poste prestigieux ou un statut politique, quel que soit son degré.

Saida Neghza a lancer un message clair en réponse à ces attaques frénétiques: « Nous continuerons sur cette voie, sans nous soucier ni avoir peur des mensonges et des vanités qu’ils tissent ensemble, comme nous nous tenions hier devant leurs maîtres, donc nous ne le ferons aussi avec eux. Nous ne reculons même un pas en arrière.