Hôte de Mostaganem, Saida Neghza a discuté les perspectives d’investissement local avec le wali de la wilaya

Saida Neghza, présidente de la Confédération générale des entreprises algériennes, poursuit ses visites de terrain dans les wilayas du pays, où sa destination était la wilaya de Mostaganem, elle a eu l’occasion de rencontrer le wali de la wilaya, Issa Boulahia, pour échanger des vues sur les aspects économiques locaux.

Saida Neghza s’est réjoui d’une grande réception à l’hôtel Hyproc des «Sablettes», tôt hier soir, par Mohamed Lazreug, ex-sénateur et opérateur économique dans le secteur de l’automobile, et du P-DG de «Hyproc Shipping Company», où un dîner a eu lieu en son honneur.

Neghza a également assisté à une cérémonie de distribution de cadeaux pour les orphelins de la wilaya, qui étaient les invités de la soirée, mais sa rencontre avec les personnes âgées n’a pas eu lieu pour des raisons liées à la sécurité sanitaire associée à l’épidémie de Corona, et à la fin de la soirée, elle a eu l’occasion de s’entretenir avec un certain nombre d’opérateurs économiques dans le but de s’enquérir du climat des affaires dans la wilaya.L’hôtesse devait également reprendre sa visite sur certains investissements touristiques.

Dans ce contexte, Neghza a manifesté un grand intérêt pour l’établissement d’une représentation officielle de la Confédération générale des entreprises algériennes, dans la wilaya de Mostaganem, dans un proche avenir, dans le but de renforcer le secteur de l’investissement dans la wilaya.

Il est à noter que Saida Neghza entend contribuer à la restructuration des investissements à Mostaganem, comme elle y croit fermement, car elle a une connaissance approfondie des possibilités disponibles dans les secteurs stratégiques de wilaya, comme l’agriculture et le tourisme.

Par ses visites continues dans les wilayas du pays, Saida Neghza s’efforce de surmonter les obstacles auxquels sont confrontés les investisseurs locaux, avec des propositions pour faciliter et alléger les procédures jugées très lourdes.

Ahmed Achour