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Abri: Un contenu médiocre sur les réseaux sociaux est un grand danger pour la société

Abri: Un contenu médiocre sur les réseaux sociaux est un grand danger pour la société

L’avocate et conseillère juridique, Farida Abri, a confirmé que face au tsunami d’idées violentes et malveillantes qui promeuvent l’extrémisme, la pornographie et autres, le législateur algérien a dû intervenir avec force afin de prendre des mesures importantes pour résoudre ce problème, reconnaissant l’importance d’un cadre juridique solide pour assurer la stabilité et la sécurité de la société.

Dans une récente interview, l’éminente avocate et conseillère juridique, Farida Abri a applaudi l’approche proactive du président Abdelmadjid Tebboune pour lutter contre la menace des contenus en ligne préjudiciables. Sous sa direction, l’Algérie a connu la mise en place de nouvelles institutions judiciaires, dont des pôles pénaux spécialisés dédiés à la lutte contre la cybercriminalité et les délits électroniques. Ces initiatives reflètent l’engagement du gouvernement à faire respecter l’État de droit et à maintenir le contrôle de toutes les actions au sein de la communauté algérienne.

L’un des aspects clés des réformes juridiques introduites par le président Tebboune est la modification des lois régissant la répression de l’incitation au racisme, des menaces à la sécurité nationale et de la diffusion de discours discriminatoires et haineux. Abri a salué ces changements, qui ont considérablement intensifié et durci les peines pour les personnes qui propagent de telles idées. L’expert juridique a souligné que ces amendements envoient un message fort: les comportements honteux, les faux contenus et les discours de haine sur les réseaux sociaux ne resteront pas impunis.

Abri a fait remarquer que l’Algérie a fait un bond en avant monumental dans la lutte contre la diffusion de contenus en ligne préjudiciables. Les nouvelles dispositions légales ont rendu pratiquement impossible pour quiconque de se livrer à un tel comportement sans encourir de conséquences juridiques. L’ère de se cacher derrière le voile de la liberté d’expression pour perpétrer des crimes à travers les médias sociaux est maintenant révolue.

En ce qui concerne la sévérité des peines infligées aux auteurs de faux contenus, de discours de haine et de crimes électroniques, Abri a révélé qu’ils pourraient encourir des peines allant jusqu’à 20 ans de prison. Cette approche sévère souligne l’engagement inébranlable du gouvernement à préserver la stabilité nationale et à protéger ses citoyens contre les périls de l’extrémisme en ligne.

En outre, Abri a exhorté à l’activation et à l’intensification d’une culture de signalement des crimes propagés par le biais des médias sociaux. Elle a souligné l’importance de donner aux citoyens les moyens de devenir le « troisième œil » de l’État, en contribuant à un effort collectif visant à réduire le nombre de victimes de crimes en ligne. En encourageant les individus à signaler les activités illégales, l’Algérie vise à renforcer sa capacité à lutter efficacement contre la cybercriminalité.

En conclusion, les déclarations de l’avocate Farida Abri servent de rappel brutal des dangers inhérents posés par le contenu immoral sur les réseaux sociaux. Les réformes législatives de l’Algérie, sous la direction du président Abdelmadjid Tebboune, démontrent un engagement résolu à protéger ses citoyens et à assurer la stabilité sociale. En modifiant les lois, en intensifiant les sanctions et en encourageant la participation citoyenne, l’Algérie trace la voie vers un paysage numérique plus sûr et plus sécurisé pour tous ses habitants.