Ils sont nombreux les pays qui pensent qu’à l’avenir, les virus du type du COVID-19 devront être gérés plutôt qu’éradiqués. L’Algérie ne déroge pas à la règle. Seulement, dans ce pays qui est sur le chemin d’une démocratie responsable, certaines parties qui ont échoué à imposer le chaos en Algérie, tentent désespérément de créer une certaine psychose pour affoler la population avec de fausses informations sur la propagation et les victimes du COVID-19. Entre ceux qui nient l’existence de la maladie et ceux qui s’attaquent injustement au corps médical et à l’Etat, il y a plus de 85% des Algériens qui se félicitent du retour de l’Etat fort et juste, un État qui a réaffirmé sa disponibilité, son autorité et sa présence, lors de la gestion de cette pandémie d’une ampleur inédite. Sans l’intervention de l’Etat, sous l’impulsion du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, les conséquences sanitaires, humanitaires et économiques de cette pandémie seraient importantes. Ces groupuscules connus pour être des relais des résidus des fameux pensionnaires du pénitencier d’El harrach, et qui ignorent les moindres refrains humanitaires, s’adonnent honteusement à un jeu macabre de chasse aux images insoutenables et moralement inacceptables. Certains manquements enregistrés ici et là, ne sont en réalité que des défaillances au niveau des structures sanitaires locales, et sont loin de refléter la stratégie de l’Etat qui a sorti très tôt la grosse artillerie pour prévenir la propagation de la pandémie et qui fait aujourd’hui, de l’Algérie un des pays qui résiste le mieux à cette crise sanitaire.