L’apparition du propagandiste Abdou Samar a été marquée depuis sa fuite d’Algérie; à travers ses discours séditieux et déroutants, revendiquant mensonges et sophismes qu’il transmet et diffuse via son site internet Algériepart ou d’autres tels que Maghreb Intelligence du Système Makhzen et I24, la chaîne de subversion sioniste sous son pseudonyme « Elias Laribi ».
Dans son dernier article, qui relève en quelque sorte de la propagande malveillante, Abdou Semmar traite de fausses allégations sur l’Algérie publiées par Maghreb Intelligence, intitulées « Alger a été informée et consultée par Tunis bien avant l’arrestation et l’emprisonnement de Rached Ghannouchi », dans le but de ternir l’image de l’Algérie en l’impliquant dans les affaires intérieures d’un pays frère, qui jouit de la haute considération, du respect et du bon voisinage, et à ternir l’image du président tunisien Kais Saied qui s’est montré ferme et intransigeant lorsqu’il s’agit de la souveraineté de la Tunisie.
Ce n’est pas le premier média tendancieux du diable traître Abdou Samar, puisqu’il s’en est pris auparavant à l’Algérie et à la Tunisie via la chaîne sioniste I24 lors de la tension entre la Tunisie et Rabat suite à la participation de la République Arabe Sahraouie Démocratique au sommet afro-japonais qui s’est tenu en août 2022 en Tunisie.
A l’époque, le régime makhzen profitait de la présence accordée par le président tunisien Kaïs Saïd, dont le pays accueillait le sommet de la TICAD 8, au président de la République sahraouie, Ibrahim Ghali, à l’invitation de l’Union africaine, en tant que membre fondateur de l’organisation continentale, pour mener une campagne de diffamation, de mensonges et de désinformation dirigée contre la Tunisie et son président Saïd. Les interventions d’Abdou Samar sur Israël 24, qui affirmait à l’époque que l’Algérie qualifie un pays souverain comme la Tunisie, comme « wilaya algérienne » et le président tunisien, comme « agent d’Alger ».
En ce qui concerne l’impact de cette diabolisation pécheresse et non innocente qu’Abdou Samar mène dans la mise en œuvre des plans infernaux de son opérateur, le Palais du Makhzen, les raisons semblent claires à l’œil, la Tunisie et son président refusent toute normalisation avec l’entité sioniste, ou le diktat des instances financières internationales de Bretton Woods à savoir le Fonds Monétaire International FMI et la Banque Mondiale.
L’Algérie, connue pour être l’un des rares pays au monde à s’opposer à l’ingérence dans les affaires intérieures des États, s’est montrée proche de son voisin la Tunisie en lui prêtant aide et soutien, pour faire face à la crise socioéconomique qu’il traverse, imposée par l’impact de la pandémie du Covid-19 et de la géopolitique internationale et ses effets négatifs.
Dans ce contexte, la politique étrangère algérienne incarne les principes de bon voisinage et le rejet de toute ingérence dans les affaires intérieures des pays. Deux principes que le président Tebboune n’avait pas manqué de réaffirmer à l’occasion de l’interview accordée au média qatari Al Jazeera, dans laquelle il avait exprimé le soutien indéfectible de l’Algérie à l’Etat tunisien sans s’immiscer dans ses affaires internes. Une position totalement opposée à celle des régimes expansionnistes que sont le Maroc et l’entité sioniste que défend le propagandiste Semmar, deux entités au zéro amis-voisins.
Pour ce qui est de l’arrestation du chef du mouvement islamiste Ennahda, Rached El Ghannouchi, certaines officines hostiles à l’Algérie, tentent d’impliquer l’Algérie dans une affaire interne de la Tunisie, via des désinformations et des mensonges, comme c’est le cas des élucubrations et diarrhées véhiculées par le sulfureux Abdou Semmar, qui vient de convier les algériens sur le plateau de la chaîne d’occupation sioniste à « commémorer la Shoah », pour montrer son allégeance à l’ennemi sioniste.
Les honorables algériens qui portent la cause palestinienne dans leur cœur et qui coule dans leur sang répondront à la revendication de ce démon et aussi à ses fausses allégations contre l’Algérie et sa haine contre elle, en intentant des poursuites et en demandant son arrestation et sa remise à la justice algérienne pour le juger et le condamner pour les crimes qu’il a commis contre l’Etat algérien et ses institutions, auquel s’ajoute le crime de haute trahison, et c’est ce dont seront témoins les prochains jours, alors que ce mercenaire voyou a franchi toutes les limites avec ses écrits provocateurs.