Aghilas MEHENNI, fils du terroriste Ferhat MEHENNI, gère des investissements en France, que son père utilise pour financer les activités terroristes du MAK

Ce qui distingue le plus les leaders des sécessions des patries pour s’attacher à des nationalités imaginaires qui n’appartiennent ni à la géographie du réel, ni aux faits de l’histoire ou aux luttes des peuples, c’est qu’ils sont d’habiles marchands, bons à vendre des illusions à des adeptes trompés, en échange de leurs sacrifices pour des objectifs imaginaires qui ne peuvent être atteints que dans des rêves narcotiques ou à l’intérieur des cerveaux pourris, tandis que ces marchands rusés mènent, eux-mêmes et leurs familles, une vie confortable.

Le terroriste fugitif Ferhat MEHENNI est l’un des courtiers de rêves et d’illusions. Il suffit de nous présenter certaines des données obtenues par les sources de « Dzair Tube », qui connaissent de nombreux détails de sa réalité, qui est couverte d’erreurs trompeuses et remplie d’une vie pleine d’opulence et de luxe vécue par MEHENNI et ses fils.

Certains des documents administratifs en possession de nos sources, constitués des statuts constitutifs, attestation de dépôt du capital, entre autres, qui parlent de l’acquisition du nommé Aghilas MEHENNI, fils du terroriste Ferhat MEHENNI, d’une société baptisée «L’Esplanade de la Gare», spécialisée dans la restauration, sise au n° 16, rue Jean Bouton, Paris/France, pour un coût de 2.9 millions d’euros.

Cette société dispose d’un fonds de commerce de 190 000 euros et d’un crédit bancaire de 202 000 euros, ce qui soulève de nombreux points d’interrogation quant aux sources de cet argent et à la finalité des « bailleurs » de fonds lorsqu’ils traitent avec une personne qui est étroitement lié à un séparatiste qui a des objectifs politiques équivalant à menacer la sécurité nationale d’un pays dont la souveraineté est fondée sur toutes les conventions et normes internationales.

Sans le moindre doute, ces fonds suspects et ce qu’ils rapportent au terroriste Ferhat MEHENNI et à sa famille « chanceuse », proviennent de l’organisation terroriste « MAK », qui collecte clandestinement des sommes importantes et entretient des liens avec des pays et des organisations hostile à l’Algérie, en l’occurrence le Makhzen et l’entité sioniste, qui n’hésitent pas à répondre aux demandes de prêt de son fils pour financer ses investissements suspects.

Ainsi, nous pouvons être sûrs que ce que fait Aghilas MEHENNI, qui est enveloppé sous les traits de son père Farhat, qui dirige le gang du « MAK », n’est rien de plus qu’une simple opération de blanchiment de cet argent ; à travers l’achat de restaurants, hôtels et magasins en France, ce qui fait de ces biens immobiliers et sommes blanchies, de véritables « caisses noires » servant le financement des activités terroristes.

Ahmed Achour