Après que les privilèges de l’ancienne Algérie leur aient été coupés, les agents et les traîtres attaquent la nouvelle Algérie

Dès que le soleil de la nouvelle Algérie a brillé, des agents et des traîtres grimacent leurs crocs, après qu’il est devenu clair qu’ils étaient privés des privilèges et des intérêts dont ils jouissaient à l’époque de l’ancienne Algérie, et en étaient coupés maintenant. Il n’y a plus de place pour eux dans une nouvelle ère qui diffère radicalement de la précédente.

Le traître Hichem Aboud disposait d’une énorme ressource financière à travers à son journal privé, « Mon Journal », grâce auquel il a obtenu, en un an seulement, 19 milliards de centimètres de publicité publique.

Quant à l’agent Abdou Semmar, il recevait 30 000 euros par mois de l’ancien PDG de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour, impliqué dans des affaires de corruption avérées. En conséquence, la justice algérienne lui a délivré un mandat d’arrêt international, pour être expulsé des Émirats vers l’Algérie dans peu de temps.

Il n’y a plus lieu de s’étonner des campagnes menées par ces mercenaires mercenaires qui pleurent l’ancienne Algérie et s’inquiètent de l’Algérie nouvelle.

Les mercenaires traîtres n’ont plus de gagne-pain dans la nouvelle Algérie qui les expulse et les rejette, ils se sont allié donc à de nouveaux patrons ennemis de la patrie et ont accepté de mettre en œuvre leurs plans visant l’Algérie, de les flatter et les louer et adopter leurs positions. Le patriotisme est mort dans leurs cœurs et la trahison s’est installée en eux, leur loyauté est devenue envers celui qui paie, et la patrie pour eux n’est qu’un hôtel qu’ils peuvent le quitter à l’heure de nécessité.

Ahmed Achour