Des atrocités collectives se produisent en Palestine

Par: Ferihene Raouf (Journaliste)

Des atrocités collectives se produisent en Palestine, et la situation a dépassé les limites, avec de graves violations des droits de l’homme. Cela nous pousse à nous interroger sur l’endroit où se trouvent ces droits fondamentaux.

De très jeunes enfants ont perdu leur famille, leurs rêves et leurs maisons, certains ont été défigurés, et d’autres sont devenus handicapés sans aucun crime commis. Cela nous pousse à nous demander à nouveau où sont les droits des enfants.

Où sont ces droits lorsque la réalité montre que ces droits sont illusoires ?

De très jeunes enfants crient de douleur, endurant des souffrances inimaginables, deviennent orphelins et sans abri sans avoir commis de faute. Ils ont perdu tous leurs rêves et leurs proches.

Que se passe-t-il dans le monde ?
Pourquoi la notion d’humanité a-t-elle disparu des êtres humains ?
Ce qui se passe aujourd’hui, n’est-ce pas des crimes odieux ?
Ne s’agit-il pas d’assassinats ?
N’y a-t-il pas de massacres et de génocides ?

Dans le silence du monde face à ce qui se passe à Gaza et aux enfants de Gaza qui ont fait pleurer les pierres sans faire pleurer les gens, la surprise est que ce que nous voyons chaque jour de scènes de meurtres et de tortures n’est pas un film d’horreur, mais dépasse tous les films d’horreur.

Les enfants de Gaza crient, souffrent, meurent et errent, tandis que le monde ne réagit pas, plongé dans un sommeil profond. Ce qui est étrange, c’est que Gaza est maintenant considérée comme une zone terroriste à leurs yeux.

La question qui se pose est : qui sont les terroristes ? Sont-ce de très jeunes enfants, des femmes innocentes, des personnes âgées, ou des civils qui vivaient en paix et sont bombardés de cette manière horrible ? Et la question demeure : pourquoi ? Pourquoi tous ces enfants, toutes ces mères, tous ces pères, tous ces déplacés ont-ils péri ?

La réponse réside chez tous ceux qui ont commis ces atrocités et chez ceux qui ont choisi le silence et n’ont pas sauvé les innocents.