Le mouvement terroriste de Rachad poursuit sa défense désespérée du fondateur et directeur des médias indépendants Maghreb Émergent et Radio M, le dénommé Ihsane El Kadi, ce qui soulève des questions légitimes sur les liens de ce dernier avec des organisations attaquant l’Algérie.
Il est déraisonnable que Rachad se consacre à effectuer des plaidoiries « gratuites » pour le compte d’une personne « gratuits » pour une personne dont l’implication dans les faits a été prouvée par la justice algérienne. Ces faits sont liés au contenu d’un article qu’il a signé sur le mouvement de Rachad, qui est classé sur la liste du terrorisme, considérant que Rachad « fait partie du Hirak populaire appelant au changement en Algérie ».
Une telle description reflète bien son propos, car elle montre bien les relations qui unissent « El Kadi » à « Rachad ». L’affaire est liée à la répartition des rôles dans lesquels le journaliste est soit un prolongement médiatique de l’organisation terroriste Rachad, soit un « Justifiant» de quelque chose qui est interdit, dont la justice algérienne a confirmé que son auteur, «le terroriste Rachad», est inclut dans des actions hostiles depuis l’étranger, et en mobilisant des cellules fidèles à l’intérieur, dans le but de déstabiliser l’Algérie, de semer la confusion et la sédition, et de provoquer le chaos et l’agitation.
Les plaidoiries mutuelles entre Rachad et El Kadi confirment clairement l’intégrité de la justice algérienne dans la condamnation du journaliste voyou « El Kadi » et de l’organisation terroriste « Rachad ». Il n’y a rien de plus intimidant et dissuasif que la justice algérienne, qui a dit son mot à Rashad et au juge.