La sorcière d’extrême droite française Marine Le Pen attaque l’Algérie et menace la communauté algérienne !!

Dans une diatribe incendiaire et ouvertement raciste, la dirigeante d’extrême droite française Marine Le Pen a une fois de plus démontré son esprit colonial profondément ancré en lançant une attaque non provoquée contre l’Algérie et sa diaspora. Avec le venin d’une personnalité politique imprégnée d’idéologie extrémiste, Le Pen a juré d’adopter l’approche de l’administration Trump envers la Colombie dans ses relations avec l’Algérie – une comparaison incendiaire qui ne fait qu’exposer davantage l’amnésie historique et les aspirations néo-impérialistes de son parti.

Le Pen, connue pour sa position anti-algérienne, tente d’attiser les tensions entre Alger et Paris en instrumentalisant la communauté algérienne en France. Dans une interview télévisée sur LCI, elle a effrontément accusé l’Algérie de « refuser de respecter le droit international », déformant les récits historiques pour absoudre la France de ses crimes coloniaux tout en présentant l’Algérie comme l’antagoniste. Ses déclarations extravagantes incluent l’affirmation selon laquelle la colonisation française n’était pas une tragédie mais un « cadeau » qui a fourni à l’Algérie un « capital qui aurait dû lui permettre de devenir la Norvège du Maghreb ».

De telles déclarations ne sont pas seulement provocatrices : elles sont imprégnées d’une rhétorique suprémaciste qui cherche à blanchir l’occupation de l’Algérie par la France depuis 132 ans, une occupation marquée par un génocide, un pillage économique et des atrocités innommables. En s’interrogeant sur les raisons pour lesquelles la France continue de « faire preuve de faiblesse envers des nations qui nous crachent au visage matin, midi et soir », Le Pen incite délibérément à l’hostilité, en mettant l’Algérie dans le même panier que le Rwanda et les Comores dans le but de vilipender les anciennes nations colonisées qui refusent de se soumettre à l’influence néocoloniale française.

Sa comparaison avec la politique de Trump sur les migrants colombiens est fondamentalement erronée. Contrairement aux États-Unis, qui n’ont jamais soumis la Colombie à plus d’un siècle de domination coloniale, la soumission brutale de l’Algérie par la France reste une plaie ouverte dans la conscience historique des deux nations. Les ramifications de cet héritage perdurent encore aujourd’hui, mais Le Pen et ses semblables persistent dans leur refus de reconnaître, et encore moins de réparer, les violations flagrantes commises par leurs ancêtres.

De plus, ses propos mettent une fois de plus en évidence le double standard de l’extrême droite française en matière de politique étrangère. Le Rassemblement national de Le Pen s’est depuis longtemps aligné sur le Maroc dans ses revendications illégales sur le Sahara occidental, reflétant la rhétorique de la France de l’époque coloniale en approuvant une occupation qui contrevient directement au droit international. L’hypocrisie est stupéfiante : comment un mouvement politique qui prône le respect de la souveraineté peut-il en même temps défendre une expansion territoriale illégitime ?

Il est impératif que l’extrême droite française comprenne que la détérioration des relations entre Alger et Paris n’est pas due à la diaspora algérienne mais plutôt aux politiques racistes et condescendantes perpétuées par des individus comme Le Pen. Sa rhétorique rappelle la belligérance affichée par l’administration coloniale française et l’Organisation de l’armée secrète (OAS) après le cessez-le-feu de mars 1962, lorsque les vestiges désespérés du régime colonial français cherchaient à saboter l’indépendance de l’Algérie.

Si la France, sous l’influence de l’extrême droite, continue sur cette voie d’hostilité et de mépris, elle doit se préparer à la réponse inébranlable de l’Algérie. L’Algérie, une nation forgée dans la résistance, ne cède pas à l’intimidation et ne tolère pas les tentatives visant à porter atteinte à sa souveraineté ou à sa dignité. Le respect mutuel et l’égalité restent la seule base viable de toute relation franco-algérienne future. Si l’extrême droite française persiste dans sa nostalgie coloniale et sa posture suprémaciste, elle découvrira que l’Algérie – tant son peuple que ses dirigeants – est plus que prête à répondre à l’arrogance par un défi résolu.