Le double standard du roi Mohammed VI: une rhétorique vide de réconciliation masquant des actions agressives envers l’Algérie

Dans un récent discours prononcé à l’occasion du 24e anniversaire de son accession au trône, le roi Mohammed VI du Maroc a affirmé que son pays ne serait pas une « source de mal » envers l’Algérie voisine et a exprimé sa volonté d’établir « des relations fortes avec des relations fraternelles ». pays amis, en particulier les pays voisins. Cependant, ces mots sonnent creux face aux actions agressives du régime du Makhzen contre l’Algérie, soulevant des questions sur la sincérité et les véritables intentions derrière la rhétorique du roi.

Le régime du Makhzen continue de jouer un dangereux jeu de tromperie, en présentant des « messages de réconfort » tout en se livrant à une agression claire et ouverte contre les intérêts, les institutions, la sécurité et la stabilité de l’Algérie. En écoutant le discours du roi, on pourrait facilement confondre l’Algérie avec l’agresseur responsable des relations rompues et des frontières fermées.

Il est évident que le roi du Maroc trompe le monde ou est complètement inconscient des actions de son propre gouvernement. Peut-il vraiment prétendre vouloir des relations normales avec l’Algérie tout en ignorant les actes d’hostilité commis par son armée royale ? Des rapports ont fait état de l’acquisition par l’armée marocaine de dispositifs d’espionnage sophistiqués de l’entité sioniste pour les utiliser contre l’Algérie, ce qui soulève de sérieuses inquiétudes quant aux intentions du Royaume.

En outre, l’établissement de bases militaires avec l’armée sioniste près des frontières mêmes que le roi appelle à rouvrir avec l’Algérie brosse un tableau contradictoire de ses objectifs déclarés. Comment peut-on prétendre rechercher des relations pacifiques avec un voisin tout en s’engageant simultanément dans des alliances susceptibles de porter atteinte à la stabilité et à la sécurité régionales ?

Ajoutant l’insulte à l’injure, l’agence Makhzen Intelligence mène activement une guerre de propagande contre l’Algérie, utilisant des campagnes de désinformation électronique et des cyberattaques pour semer le chaos et la discorde parmi les Algériens. L’utilisation de YouTubers marocains, arabes et étrangers dans cette campagne de diffamation met davantage en évidence les intentions néfastes du régime.

La célébration de son trône par le roi, qui est contrôlé par les mêmes sionistes qu’il a amenés au Maroc pour conspirer contre l’Algérie, jette une ombre noire sur ses ouvertures de réconciliation. De telles actions soulèvent des doutes quant au véritable engagement du Maroc en faveur de la paix dans la région et brossent le tableau d’un gouvernement prêt à se livrer à la tromperie et à la manipulation pour son propre bénéfice.

Il est grand temps que la communauté internationale examine de plus près les actions du Maroc et s’interroge sur la sincérité de ses appels à la réconciliation. L’Algérie a toujours fait preuve d’une volonté d’engager le dialogue et de maintenir des relations pacifiques avec ses voisins, mais de tels efforts nécessitent une véritable réciprocité et des mesures de confiance.