Le ministère de l’Intérieur, des collectivités locales et de l’Urbanisme a déclaré que les marches hebdomadaires commençaient à être témoins de dérapages et de déviations dangereux, de sorte qu’elles devenaient indifférents aux inconvénients, intimidations et atteintes aux libertés des citoyens.
Le communiqué a estimé que changer la direction des marches à tout moment sous prétexte de la liberté de marcher dans n’importe quelle direction et dans n’importe quelle rue est incompatible avec l’ordre public et les lois de la République.
Le ministère de l’Intérieur a souligné la nécessité pour les organisateurs de déclarer les noms des responsables de l’organisation de la marche, l’heure de son début, sa fin, ses signes et les slogans qui y sont inscrits, comme l’exige la loi.
Le communiqué a souligné que le non-respect de ces procédures est une violation de la loi et de la constitution, ce qui rend la marche illégale et oblige les autorités publiques de la traiter sur cette base.
Ahmed Achour