Les barbouzes français ont dissimulé leur acte ignoble en promouvant la khabardjia Amira Bouraoui au rang de « journaliste »

Les barbouzes français sont allés trop loin cette fois, et leur insolence a dépassé les limites de la description, après avoir insisté pour appeler Amira Bouraoui la « journaliste », dans une tentative ratée de faire quelque chose d’important et pour qu’ils puissent légitimer le crime son exfiltration.

Dans ce cas, il semble qu’il soit devenu facile pour le service de renseignement français, alors qu’il conspire contre l’Algérie, et transcende les limites des relations normales entre deux pays liés par des accords, d’affirmer qu’ils ont publié des mensonges tels que « protéger les journalistes » et « défendre la liberté d’expression », ou peut-être transformer l’exfiltration en asile politique pour une femme qui n’a pas travaillé dans le journalisme ne serait-ce qu’une journée dans sa vie, et qui n’a jamais été une pseudo-journaliste à un moment donné.

Amira Bouraoui, poursuivie dans des affaires de droit public, est exactement ce qu’elle a toujours été et tout le temps, une simple « Khabardjia et une indic » au rang de traitre du premier degré, son travail n’est pas très différent de ce que faisaient les Harkis, elle a toujours été au service de l’ambassade de France à Alger.

Il est certain, après cet acte ignoble perpétré par les barbouzes français, qui se sont plongés dans un acte s’apparentant davantage à un enlèvement convenu entre le ravisseur et l’enlevé, que cette affaire Bouraoui, qui a tout d’une affaire de « barbouzerie d’Etat », n’a pas fini de révéler tous ses secrets.
Désormais, dans cette relations algero-françaises, il y a un avant l’affaire Bouraoui et un après cette affaire.

Ahmed Achour