La rencontre périodique du président algérien, Abdelmadjid Tebboune avec les représentants des médias nationaux a fait « La Une » de la presse française qui s’est montrée optimiste quant aux déclarations du chef de l’Etat.
« Le président Tebboune voit Emmanuel Macron comme l’unique point de repère », était le grand titre de la presse française tels que la Nouvelle République,TF1, BFMTW, France 24, la dépêche ainsi l’Actualité, se montrant affable et qu’il y avait de l’espoir pour régler les problème entre les deux pays, ils ont également repris sa déclaration sur « le contentieux entre l’Algérie et la France (qui) a été créé de toutes pièces ».
CNEWS a, parallèlement, évoqué le contentieux entre les deux Etats et qui « est entre de bonnes mains » pour être résolu, selon la déclaration du Président Tebboune : « En ce qui me concerne, le dossier contentieux créé de toutes pièces, il est entre de bonnes mains, entre des mains de quelqu’un de très compétent qui a toute ma confiance, en l’occurrence le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf ».
De son côté, la porte-parole du gouvernement, Sophie Primas était l’invitée ce dimanche du « Grand Rendez-vous (Europe 1,Cnews, Les Echos) où elle a expliqué voir d’un bon œil les dernières déclarations du président algérien Abdelmadjid Tebboune sur son homologue français, Emmanuel Macron, et espère renouer des relations « normales » avec l’Algérie.
Des propos qui donnent de l’espoir à Sophie Primas ,selon elle « C’est un bon signal ». « Nous sommes déterminés à retrouver avec l’Algérie des relations normales », a-t-elle confirmé.
Pour rappel, Le président Abdelmadjid Tebboune, a affirmé samedi lors de l’entrevue périodique avec les médias de la presse nationale, que le contentieux entre l’Algérie et la France a été créé de toutes pièces, qualifiant ce qui se passe autour de cette question de « brouhaha » et de « capharnaüm politique ».
« On garde comme unique point de repère, le Président Macron. Nous travaillons ensemble. Il y a eu, c’est vrai, un moment d’incompréhension, mais il reste le Président de la république française, et personnellement, tous les problèmes doivent se régler soit avec lui ou avec la personne qu’il délègue, en l’occurrence son ministre des Affaires étrangères, à juste titre », a-t-il précisé.