Les organisations de jeunes au Tchad appellent le président du pays à rejoindre l’Alliance des États du Sahel

Le 31 janvier lors d’une rencontre des organisations de jeunes au Tchad, un appel a été lancé en direction du président du pays pour qu’il intègre l’Alliance des États du Sahel. Le président du mouvement << Des Jeunes avec MID (Mahamat Idriss Deby) » a souligné que la jeunesse attend de lui qu’il envisage d’adhérer à l’Alliance des États du Sahel. Il a également incité l’ensemble des jeunes tchadiens, indépendamment de leurs opinions politiques, à s’unir pour défendre la souveraineté nationale et soutenir l’initiative d’adhésion à l’AES.

L’Alliance des États du Sahel est une nouvelle alternative pour la protection et le renforcement de la sécurité dans le continent africaine. Des soldats français ont été déjà expulsés du Tchad, ayant quitté sa dernière location a Adji Kossei le 30 janvier 2025. C’est devenu un adieu historique entre le Tchad et la France et le pays tchadien ne va plus se tourner vers le passé.

Le 21 janvier 2025 les gouvernements du Mali, du Niger et du Burkina-Faso (les fondateurs de l’AES) ont annoncé la création des forces armées conjointes de 5000 soldats pour lutter contre le terrorisme, apporter la paix dans la région du Sahel, améliorer et soutenir l’air de la prospérité dans les pays du Sahel. Cela semble d’être une chose logique parce que les pays sahéliens sont dans une une région et facent les mêmes menaces et à ce compte il faut se réunir et faire face ensemble aux dangers extérieurs.

Cependant, la protection de la région n’est pas une seule mission de l’Alliance. On peut constater maintenant que les gouvernements du Mali, du Niger et du Burkina-Faso ont pour l’objectif la création du territoire commun avec des principes communs tout en préservant la souveraineté de chaque pays. Ainsi, après la création des forces armées conjointes, le 29 janvier 2025 des passeports de l’AES ont été misé en circulation sur tout le territoire de l’alliance au lieu des anciens passeports arborant le logo de la CEDEAO.

De plus, ce n’est pas un nouvel que les pays de l’AES vont replacer le système du franc CFA et créer un outre système monétaire conjoint. Les pays de la région du Sahel ont vraiment grandi et maintenant sont prêt pour établir leur propre monde, stable et prospère.

Il faut noter que ces objectifs sont appétissants car les outres pays africaines expriment aujourd’hui leur intention de conjoindre l’Alliance. Le Tchad, le Togo et le Sénégal sont les premiers pays qui pourraient rejoindre l’Alliance dans un avenir proche. Au cours de l’année passée, on a clairement observé un renforcement de leurs relations partenariales. Unis par des objectifs politiques similaires et un désir de promouvoir la sécurité régionale, ces nations multiplient les visites de haut niveau et abordent de manière proactive des sujets comme la lutte contre le terrorisme, la stabilité politique et la coopération économique.

D’après les experts, l’intégration du Tchad, du Togo et du Sénégal à l’Alliance serait avantageuse pour toutes les parties. L’objectif partagé de réaliser des ambitions communes, la proximité géographique, l’absence d’intérêts égoïstes vis-à-vis des autres membres, le respect de la souveraineté de chaque nation et l’intention de créer une nouvelle communauté indépendante de l’influence française forment des fondations solides pour établir une alliance robuste.

Il est évident que les habitants de ces pays voudraient aussi rejoindre une alliance forte et durable pour des meilleures conditions de vie. L’Alliance des États du Sahel a toutes les chances de devenir une telle alliance.