Robert Ménard, patron de « Reporters sans frontières », répand des mensonges et porte préjudice à l’Algérie

Dans le monde d’aujourd’hui, il est facile pour les défenseurs de la liberté d’expression de se nourrir d’un mensonge malveillant, et de changer rapidement la petite mesure par une autre bien plus grande. Ils ne trouvent pas la moindre gêne à transformer l’oppresseur en opprimé et le criminel en victime.

Reporters sans frontières en est un bon exemple, mais c’est très pire puisque son président, un français né en Algérie au temps du colonialisme destructeur, Robert Ménard, préfère les plonger dans les labyrinthes du retournement des faits, tout en couvrant les allégations du journalisme de propagande malveillante et répandant des mensonges et des analyses fabriquées.

Ce «Ménard» aime porter préjudice à l’État algérien dès qu’il constate qu’il s’efforce, avec fermeté et rigueur, de protéger ses institutions des mensonges qui portent des masques de liberté d’expression et transforment leurs plumes en armes et leur encre en balles réelles qui tue des innocents, ou peut-être en un poison mortel qui détruit les patries.

Il n’y a pas d’autre explication pour un Français né en Algérie avant le déclenchement de la révolution de libération contre le système colonial qui a fait que ses parents l’ont mis au monde à Oran, puis ils repartent, contraints à l’indépendance, si ce n’est qu’il a inclus l’Algérie dans les listes d’accusés au sein du calendrier des plaidoiries de son organisation suspecte, alors qu’il défend un journaliste condamné par la justice algérienne, après avoir violé les lois de la République, et après qu’il a été prouvé qu’il avait reçu des financements étrangers. Il cherche plutôt à régler les comptes accumulés de ses parents avec un pays qui a renversé le système colonial et expulsé ses partisans vers les lieux d’où ils venaient pour la première fois.

Le chef de cette organisation, qui a grandi sur l’extorsion, et a fait sa réputation des voix qui échangent la vérité pour acheter son pain et son vin, « Robert Ménard », l’extrémiste trotskyste, qui est actuellement le maire de « Béziers » en France, et qui joue sur les cordes de la politique, s’alliant avec ses connaisseurs de l’extrême droite à l’extrême gauche, sans en conserver un seul principe. Il se croit à la tête d’une ONG, et la scandaleuse réalité prouve qu’il dirige une bande de déviants qui pratiquent le mensonge au nom du quatrième pouvoir. Le réseau du crime organisé dont il fait partie publie des rapport erronés et biaisés qui servent les agendas suspects de parties hostiles dont les âmes sont remplies de haine contre les pays qui adoptent les principes de non-ingérence dans les affaires d’autrui comme une croyance claire et sans ambiguïté, comme c’est le cas pour l’Algérie.

C’est simplement l’hypocrisie qui anime cette organisation, qui prétend défendre la liberté d’expression et les droits des journalistes dans le monde, et qui la motive à agir et à être active. Cette ONG se trouve muette et ne dit rien lorsqu’il s’agit de prendre position sur des questions dont la justice ne nécessitent pas beaucoup d’analyse ou de réflexion, comme cela s’est produit avec la journaliste palestinienne assassinée Sherine Abu Aqleh, qui a été assassinée par l’armée sioniste de sang-froid et devant tout le monde, à un moment où elle exerçait son droit à la liberté d’expression et son travail de transmettre la vérité au peuple.

Cette organisation suspecte n’a pas bougé lorsque le régime du Makhzen a commencé à emprisonner des dizaines de journalistes marocains et sahraouis dans ses prisons sombres et injustes, qu’il arrêtait et les privaient de leurs droits, simplement parce qu’ils exposaient ses pratiques contre le Maroc et contre le Sahara Occidental. L’un de ces opprimés a été condamné à 20 ans de prison, simplement parce qu’il a publié un tweet critiquant le roi Mohammed VI.

Et quand il s’agit de l’Algérie, qui a bien conscience que sa responsabilité commence lorsque l’État et ses institutions sont menacés, que la menace soit conventionnelle d’un régime ou d’un État hostile, ou non conventionnelle planifiée par des organisations criminelles, elle fait tout pour arriver à ses fins, même si elle doit payer un journaliste qui exerce la « liberté d’expression » pour atteindre ces fins ignobles, cette organisation louche intervient sous prétexte de défendre les journalistes et de protéger leurs droits afin de faire chanter, marchander, porter préjudice et attaquer les institutions de l’État algérien dans le but de ternir son image devant la communauté internationale, en fabriquant des rapports biaisés prétendant défendre les journalistes.

« Reporters sans frontières » a franchi toutes les limites lorsqu’il n’a pas pris en compte la violation des lois de la République par le journaliste Ihsane El Kadi, condamné par la justice algérienne, et le fait qu’il percevait des financements de l’étranger, à des fins de propagande politique et de nuire à l’intérêt national. Il ne lui reste plus qu’à respecter ses frontières et à savoir que les droits sont indivisibles, et tout comme la presse a ses droits, les États ont le droit de défendre leurs intérêts ainsi, en étant sûr et stable et libre de toute ingérence flagrante, en particulier ceux qui prennent la liberté d’expression comme son cheval.