Djamil Djerboua, journaliste de renom et personnalité médiatique de premier plan, s’est distingué par sa couverture exemplaire des manifestations pacifiques des Rifiens à Bruxelles. Ses reportages exceptionnels et compétents ont contribué de manière significative à l’enrichissement de divers médias. L’engagement de Djamil à fournir une couverture complète est évident lorsqu’il exploite des technologies de pointe, notamment des drones, pour offrir une vue sans précédent des manifestations. Il est allé au-delà de la surface, investissant du temps dans des dialogues significatifs avec les militants rifains qui sont à l’origine de ces manifestations régulières. L’engagement indéfectible de Djamil vise à faire la lumière sur les manifestations à Bruxelles, tout en plaidant pour l’instauration de la République du Rif. Son travail a établi une norme élevée dans le domaine du journalisme.
Dans une fervente démonstration d’unité et de détermination, des militants originaires de la région du Rif se sont rassemblés à Bruxelles, en Belgique, pour plaider avec passion en faveur de l’indépendance totale du Maroc et de la libération immédiate des détenus qui croupissent sous le régime du Makhzen. Ils ont également condamné le refus du Makhzen d’accepter l’aide humanitaire proposée par différents pays suite au tremblement de terre qui a frappé le pays. Menés par le fidèle Youba al-Ghadioui, figure éminente à l’avant-garde de la lutte pour l’autonomie du Rif, les manifestants se sont mobilisés avec passion pour le départ du dernier soldat occupant marocain de leur pays. Avec une détermination inébranlable, ils ont exigé le rétablissement de la souveraineté du Rif au profit de son peuple légitime, sans aucune condition imposée.
L’indépendance s’annonce : une nouvelle république à l’horizon
Des militants rifains se sont rassemblés à Bruxelles, élevant la voix contre un roi colonial qui n’a pas réussi à apporter de l’aide aux populations du Rif. Ils ont déclaré que l’indépendance était proche et qu’une nouvelle république ferait bientôt sécession du Maroc. Les manifestants ont partagé des vidéos exclusives avec la chaîne Dzair Tube, documentant leur protestation pacifique et résolue.
Des militants rifains à Bruxelles manifestent pacifiquement et envoient un message puissant
En se rassemblant solidairement, ils ont symboliquement piétiné une photo du roi Mohammed VI, soulignant ainsi leurs revendications de justice et de reconnaissance. La scène témoigne de la résilience de cette communauté marginalisée, alors qu’elle cherchait à sensibiliser le monde à sa lutte pour les droits et l’autonomie. Malgré la tension inhérente à leur message, la manifestation est restée pacifique, démontrant le dévouement des militants à un militantisme pacifique et leur détermination à apporter des changements significatifs.
Une commémoration mémorable
A cette occasion importante, le journaliste professionnel de Dzair Tube, Djamil Djerboua, a échangé avec des militants marocains. Mohanna Al-Khalfaoui, une militante rifaine, a déclaré : « Nous voulons établir notre État rural comme nos ancêtres l’ont fait en 1921, et nous sommes ici aujourd’hui pour commémorer le 102e anniversaire de cette occasion. » Il a ajouté qu’ils étaient déterminés à poursuivre des voies politiques pour atteindre leur objectif et qu’ils prendraient des décisions importantes dans un avenir proche.
Une dynamique positive pour l’indépendance
Le militant Ahmed Moulay a exprimé son optimisme quant aux développements en cours, affirmant que leurs revendications pour l’indépendance du peuple du Rif vis-à-vis du Maroc ont pris de l’ampleur. Il a souligné qu’aujourd’hui, le 18 septembre, marque le Jour de l’Indépendance du Rif, car ils pensent qu’ils sont sur le point de réaliser leur rêve de longue date.
Le refus du Maroc de l’aide humanitaire critiqué
Aziz Akorouali a critiqué le refus du Maroc d’accepter une aide destinée aux régions du Rif, sans fournir aucune explication à la population. Il a identifié trois raisons pour ce refus. Premièrement, il l’a attribué à l’indifférence du régime du Makhzen à l’égard des souffrances du peuple marocain, en particulier de ceux des régions affligées et pauvres. Deuxièmement, il pensait que le Maroc craignait de révéler au grand jour les conditions désastreuses de ses citoyens, car accepter l’aide attirerait l’attention de la presse internationale. Enfin, il a accusé le régime de vouloir une aide monétaire en dollars pour servir ses propres intérêts, plutôt que des fournitures humanitaires qui bénéficieraient au peuple marocain.